Non, il n'est pas nécessaire d'être cavalier(ère) pour suivre une séance de médiation équine. La médiation équine s'adresse à tous, que vous soyez cavalier ou non, car l'objectif principal n'est pas l'apprentissage de l'équitation, mais plutôt la présence du cheval comme outil thérapeutique ou éducatif.
Le nombre de séances de médiation équine individuelle nécessaire dépend des objectifs de chaque participant, de ses besoins spécifiques et des résultats qu'il souhaite atteindre. En général, il est conseillé de commencer avec un cycle de 5 à 10 séances pour évaluer l'impact de la médiation équine sur le participant. Après ce premier cycle, un réajustement peut être effectué en fonction des objectifs atteints et des besoins restants. Certaines personnes peuvent ressentir des bienfaits après seulement quelques séances, tandis que d’autres auront besoin d’un suivi à plus long terme.
Les groupes sont constitués de 4 à 6 personnes maximum selon les publics. Cela permet de garantir que chaque participant puisse bénéficier d'une attention suffisante et que l'interaction avec le cheval soit sécurisée et bénéfique pour tous.
Bien que la médiation équine soit une méthode thérapeutique bénéfique pour de nombreuses personnes, certaines conditions physiques ou mentales peuvent en limiter l’efficacité ou la sécurité. Consulter un professionnel de santé (médecin ou thérapeute) si tu as des doutes concernant une condition médicale ou mentale avant de participer.
Privilégie des bottes ou des bottines avec des semelles antidérapantes et un léger talon pour assurer ta sécurité, ton confort et un bon maintien des pieds et des chevilles. Des chaussures de randonnée ou baskets feront aussi très bien l’affaire par temps sec, mais évite les chaussures trop souples ou non adaptées aux exigences de l’équitation, comme les sandales ou les tongs.
Lors des séances de médiation équine, les participants travaillent généralement à pied avec le cheval (dans des exercices de communication, de gestion des émotions, etc.), où le port de la bombe n'est pas nécessaire, puisque le risque de chute est très limité. Dans ce contexte, la sécurité repose plutôt sur le respect des consignes de sécurité, la gestion des comportements des chevaux et la supervision par un professionnel.
Si la médiation inclut des moments où les participants montent à cheval (ce qui est plus rare, mais possible selon les objectifs de la séance), le port de la bombe devient alors obligatoire, pour des raisons de sécurité. Même si l’objectif principal est l'interaction avec le cheval, certaines situations peuvent nécessiter un minimum de protection.
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